Le VIH, comme vous le savez tous, est un virus qui se transmet principalement par le sang et le sperme. Certaines populations sont plus touchées que d’autres, que ce soit à cause de pratiques dangereuses (échanges de seringues) ou de par leurs conditions de vie (pas d’accès effectif aux préservatifs notamment). Cette étude s’attache à lever le voile sur une population particulièrement touchée par ce virus, à cause de son régime alimentaire.
Comme vous le savez, les vampires ont besoin de boire du sang pour avoir un certain niveau de forme physique. Bien sûr, le vampire ne meurt pas s’il ne trouve pas sa dose de sang, mais il s’affaiblit, hiberne en quelque sorte. Le problème, avec le VIH, c’est qu’un vampire a un risque accru d’être contaminé. Et de propager l’épidémie, par ses morsures. Ainsi, un vampire séropositif, lorsqu’il décide de mordre un humain pour le recruter, le contaminera par la même occasion. Et de cou en cou, la proportion de séropositifs augmente de manière exponentielle dans cette population dite “à risque”. Lorsque la maladie se déclare, cela se traduit par un affaiblissement considérable, une perte de poids, l’apparition de tout un tas de maladies qui d’habitude ne touchent pas les vampires et surtout par la perte de leur pouvoir de séduction sur les humains. Cela les empêche alors de pouvoir se nourrir simplement, les obligeant à chasser de manière très peu subtile et surtout très fatigante. Même si le vampire ne mourra pas du SIDA, il passera le reste de son éternité à ressembler à un zombie, ce qui, pour cette population qui se targue d’élégance, est presque pire que la mort.
Nous allons maintenant aborder le point de la prévention, qui est donc primordiale, car un vampire séropositif le restera pour l’éternité. Il est important de noter qu’il existe très peu de transmission du virus de vampire à vampire, la contamination se faisant principalement d’humain à vampire et de vampire à humain recruté. Néanmoins, il va être important dans un premier temps de dépister chaque vampire, afin de pouvoir adapter les comportements de chaque groupe de vampires. Les séropositifs pourront ne pas changer leurs habitudes, puisque le mal est fait, mais ils ne devront en aucun cas recruter de nouveaux vampires. Quant aux séronégatifs, ils vont devoir chambouler leurs coutumes, et commencer par arrêter de sucer le sang de proies vivantes pour se nourrir. Comme il est impossible de savoir de manière certaine que la personne ne sera pas infectée, le meilleur moyen de se préserver est l’abstinence. Les chercheurs travaillent en ce moment même à l’élaboration de dérivés sanguins pour rendre possible une alimentation saine répondant à tous les besoins des vampires. Nous préconisons donc à tous les vampires séronégatifs de se mettre en dormance en attendant de pouvoir à nouveau se sustenter sans risque.
En espérant que cette étude vous a été utile, nous restons à votre disposition pour tout renseignement à l’adresse indiquée en bas de la page.