Elle a le cœur un peu trop grand, un peu trop doux, un peu trop vif. Un peu trop plein de niches où se lover. Un peu trop accueillant, peut être. Un peu trop attaché, voire un peu trop collant.
Un rien avide. De vie, de sens, d’émotions, de rêves, de sensations, de petits riens et de fantasmes.
Heureusement qu’il irrigue si bien le cerveau dont il est responsable qui, sans le mettre en sourdine pour autant, recommande la prudence aux autres organes et évite les raz de marée.